Sin City :: RPG
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Un jeu de rôle dans la ville du vice et du péché ...
 
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Wolfie
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MessageSujet: nouvelles   nouvelles EmptyJeu 23 Mar - 17:41

voilà j'ai écrit une très petite nouvelles sur le theme de la mafia et si vous avez un peu de temps j'aimerai que vous me disiez ce que vous en pensez.

Les événements ici relaté sont, dans leur déroulement et leur organisation, de la fiction. Cependant, ils sont inspirés de faits réelle et les personnages cités ont réellement existé.

Les Vêpres Siciliennes


Septembre 1931, USA

J’avance tranquillement, ces habits ne me plaisent pas. Ce n’est pas trop le genre de truc que je porte d’habitude. Mon imper noir et ma chemise blanche à cravate ont laissé place à un ridicule costume du fisc. Enfin, si Lucky Luciano le demande, alors nous ferons exactement ce qu’ils à demander. Nous sommes une bonne dizaine à marcher le long du trottoir en cette douce nuit de septembre. Nous n’avons pas le choix, il nous faut avancer. Un épisode qui marquera l’histoire doit se dérouler ce soir. Un épisode que l’on pourra considéré comme tragique, si tout se passe bien. Peut être est-ce une mauvaise idée, qui sait, mais les affaires sont les affaires. D’ailleurs je dois avouer que les positions antisémites du Don Salvatore Maranzano ne me plaisent pas non plus. Qu’elle idiot ! Ses hommes se sentent plus américain qu’italien, ne s’en rend t’il donc pas compte. Les traditions, c’est bien beau. L’avenir ne réside pas là. Mais ce soir, c’est de la main de ceux qu’il considère comme inférieur qu’il souffrira, c’est d’une main juive qu’il verra s’annoncer son trépas.
L’homme qui nous mène pour cette mission se nomme Bo Weinberg, il est le lieutenant de Dutch Schultz, un des gars au ordre de Luciano. Dutch Schultz était un des parrains reconnus notamment pour son sale caractère et sa paranoïa. Il s’occuper du trafique d’alcool, et la prohibition en vigueur ne pouvait que l’aider à faire fortune. De plus, Schultz était associé au patron d’un bar clandestin. Bien que je ne sois pas sur que le terme d’associer soit adéquat. En effet, peut de gens n’étaient pas au courant de la passion de ce parrain : torturer les patron de bar clandestins pour qu’ils s’approvisionnent chez lui. Mais cela n’étonnait personne, la violence est money courante de nos jours, et tout ce qui compte c’est l’argent, les affaires.
Je fait un pas dans une flaque d’eau, ce qui à pour effet de mouiller mon pantalon. Fait chier, je vais devoir rester mouiller jusqu’à ce que je rentre chez moi, et ce sera pas dans dix minutes. En essayant de frotter le bas de mon pantalon avec mes mains, j’effleure au travers du tissu mon arme. Un colt 1911. Arme simple, certes, mais notre accoutrement oblige à porter des armes discrètes. L’intégralité de notre groupe est armée de ce colt. Un arme de poing redoutable dans n’importe qu’elle situation. Même notre meneur était armé ainsi.
La rue éclairait par quelques lampadaires à tout de même des allures sinistres. Quelques ruelles sombres se dessinent à droite et à gauche, et aucune n’inspirerait confiance à un rat. Aucune voiture ne passe par la route que nous suivons, il est tard, les gens doivent sûrement dormir. En attendant, nous pensons tous à l’homme qui ne reverra pas le jour. Celui qui s’aime dire capo di tutti capi, ou chef de tout les chef. Demain matin, la Cosa Nostra n’aurait plus rien à voir avec ce qu’elle a était.
La lune plane maintenant au dessus de notre cible, comme un dieux qui nous montrerait le bon chemin. L’appartement fait cinq étages. Le bureau du don est au cinquième. Ce pourri de Salvator Maranzano doit aimer regarder la rue de haut. Il doit se sentir bien supérieur. Sont rang le met au dessus des autres, c’est vrai, mais sa n’empêche qu’il va mourir pour ses idées. Dommage, il était l’homme le plus puissant de cet état, et peut être même des Etats-Unis, et voilà qu’il va se faire plomber pour des idées à la con.
En arrivant à la porte d’entrée notre chef nous fait signe de rester silencieux. Bientôt ça aller faire de bruit, mais pas tout de suite. On ne savais pas combien exactement de d’hommes comptait la garde du don. Weinberg ouvrit la porte silencieusement et se retrouva dans le hall principal. Nous le suivons en tentant de rester le plus décontracter possible. On se serait cru dans un hôtel. Un magnifique hall aux couleurs marron et un réceptionniste qui nous attendait derrière un long bureau en marbre. J’avance le plus silencieusement possible, mais mes chaussure mouiller font comme un bruit de sucions à chacun de mes pas. Weinberg s’approche du bureau pour s’adresser au réceptionniste. Il lui précise que nous sommes du fisc et que nous souhaiterions voir monsieur Salvator Maranzano. Mais l’homme semble se méfier. Pourquoi dix employés du fisc serait venus en même temps pour une simple conversation. Sa ne tourner pas rond, et il s’en douter. Je m’abaisse comme pour faire mes lacets et sort doucement mon arme, en prenant garde de ne pas faire de gestes suspects. Mais Weinberg ne garde pas l’attention du de l’autre longtemps et quand ses yeux se posent sur moi, j’ai le cœur qui se met a battre plus fort qu’à l’habitude. L’homme me fixe, ses paupières se dilatent, sa peau rougie, ses doigts tremblent, il a compris. Je me lève d’un coup et tire un remarquable pruneau en plein dans son front. L’alerte est donnée, le don sait que nous sommes là, le gibier est en fuite.
Le chef, après m’avoir fait un signe de tête en félicitation, me dit de rester en bas avec un autre de mes coéquipiers. Nous nous postons à l’extérieur, à l’écoute de la moindre sirène se rapprochant, ou du moindre regard indiscret qu’aurait un futur mort. Les coups de feu se font de plus en plus fréquent à l’intérieur. Ont en arrive même à entendre des cris par moment, mais toujours pas de flic, toujours pas de vie dans cet rue du désespoir. Moins d’un quart d’heure plus tard, les mafieux sont de retour, il en manque deux, mais le rital est crevé. Si je comprend bien ce qui disent les hommes, il à été égorgé, égorgé dans son bureau. Le chef nous montre le chemin à suivre pour fuir. Une petite ruelle, un grand boulevard, tout sa au pas de course, et nous voilà de retour à la civilisation.

* * *

Cette journée marqua un tournant dans l’organisation et la façon de penser des grands pontes de la mafia. Le meurtre du don Salvatore Maranzano mit fin à une guerre qui dura deux ans : La guerre des Castellammarese. Durant cette journée, un peu moins de cent hommes du don furent assassiné. Cette journée resta gravé sous un nom qui faisait référence au massacre des Angevins en 1282 à Palerme : Les Vêpres Siciliennes.
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Rach Olroy
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MessageSujet: Re: nouvelles   nouvelles EmptyVen 24 Mar - 23:55

Moi je trouve ça tres bien,bon y'a quelques fautes et tu enchaine trop de phrases courtes a la fois,mais sionon bravo cheers cheers cheers
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Wolfie
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MessageSujet: Re: nouvelles   nouvelles EmptySam 25 Mar - 0:28

merci sa fait plaisir ^^
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Rach Olroy
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MessageSujet: Re: nouvelles   nouvelles EmptySam 25 Mar - 0:36

de rien,si tu t'as mis du temps a l'écrire la moindre des choses c'est de le lire,et c'est pas désagréable Very Happy Very Happy Very Happy
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Wolfie
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MessageSujet: Re: nouvelles   nouvelles EmptySam 25 Mar - 9:33

Oh que oui jai mis du temps pour l'écrire lol, vu que c'est tiré de faits réelle jai du faire préalablement tout un petit travail de recherche mais je suis assez heureux du résultat.

Actuellement je suis sur une nouvelle qui racontra un passage de l'enfance de Benjamin Siegelbaum dit "bugsy" (le dingue). Le gangster qui créa las vegas mafia

Donc dès que j'aurai terminer je vous la ferais lire Wink
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Vic Vega
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MessageSujet: Re: nouvelles   nouvelles EmptySam 25 Mar - 14:58

Ouaaai Bugsy Siegel, mon idole dans le crime Mr. Green

Sinon, très bon taf Wolf', j'attend celle sur Bugsy, ça promet mafia
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Wolfie
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MessageSujet: Re: nouvelles   nouvelles EmptySam 25 Mar - 16:33

Merci vic, en tant que spécialiste du genre, ton avis m'inportait beaucoup. Très heureux de voir que sa t'a plu. Celle sur Bugsy ne devrait pas tarder, j'en ai déja écrit plus de la moitier et j'ai terminer le travail de recherche. Un tout petit peu de patience, peut être l'aurais-je finit d'ici une ou deux heures Wink

Edit : voici la nouvelles


Les événements ici relatés sont, dans leurs déroulements et leurs organisations, de la fiction. Cependant, ils sont inspirés de faits réelles et les personnages cités ont réellement existés.

Les débuts du Dingue


1916, Brooklyn, USA

Le jeune garçon marcher tranquillement dans la rue. Les rayons de soleil qui lui caressaient tendrement la joue rendaient toute son innocence à cette âme déjà pervertie. A seulement dix ans, le petit garçon se faisait déjà connaître par sa violence et sa cruauté. Le surnom de Bugsy Siegel (le dingue) avait fait place au petit Benjamin Siegelbaum. Haï et surtout craint des petits commerçants, qui même adultes n’osaient pas se frotter au petit mais malsain Bugsy Siegel. Mais ce surnom, il ne fallait surtout pas le prononcer devant ce diable. Oh que non ! Dire ce surnom devant le petit garçon était une promesse de ne jamais revoir le jour. L’enfant préféré qu’on l’appela tout simplement Ben. Mais on se demande tout de même comment un enfant de dix ans puisse faire preuve d’une maturité pareille. Mais la question ne se pose pas, plus rien ne peut étonner l’humanité de nos jours. Quand on voit des jeunes filles de treize ans faire le trottoir et procurer du plaisir à de vieux pervers de quarante balais, alors pourquoi on ne pourrait pas devenir criminelle à dix ans ? Et en ces jours sombres du début du XXem siècle, un enfant tourne mal aussi souvent que la pluie tombe a new york.

La rue était bondée de monde, une rue commerçante comme une autre. Les gens s’affèrent au vitrine des magasin, c’est sa le rêve américain ? En tout cas rêve ou pas, le petit Bugsy savait très bien a quoi s’en tenir. Il avait déjà comprit, que l’argent était roi et que le pouvoir était renne. Et comme par hasard, l’un n’allez pas sans l’autre. Et du haut de ses un mètre quarante, c’était la définition que Siegel avait du rêve américain. Et le plus grand des pouvoirs qu’il lui fut donné de connaître, était le pouvoir de vie ou de mort sur un individu. Cette personne en face de toi, qui te supplie de la laisser en vie, et toi qui à le choix. Je le laisse vivre ? Ou pas… Et voilà a quoi ce résumé les jeux de Bugsy. On ne sut pas si il a jamais était un enfant comme les autres, qui jouer et qui crié, qui faisait des manière pour aller coucher tard ou pour ne pas manger son assiette. Non la seule image qu’il nous reste de l’enfant Bugsy, est cette image de violence, de profit, de cruauté, et de timbré.

Le petit, mains dans les poches de sa veste, jouait du bout des doigts avec un paquet d’allumette. C’était le meilleur moyen qu’il avait trouvé pour persuader les gens, et surtout les commerçants, de voir dans le même sens que lui. Bugsy c’était récemment fait un ami, celui-ci régissait au nom de Meyer Lansky. Un garçon qui semblait avoir les mêmes attirances que Bugsy, mais qui avait nettement plus de tête. Il avait quatorze ans à l’époque. Ont dira d’ailleurs plus tard que Siegel et Lansky formaient l’alliance de l'audace du premier, et de la prudence du second. Ensemble, les deux futur mafieux avait mis au point une petite affaire. Ce n’était pas très catholique, mais ça marché. Siegel aller demander des frais de vente aux petits magasins des rues marchandes, et si ils refusaient de payer, les deux gamins cramaient tout. Qu’est ce qu’ils allaient faire ? Les balancer au flic ? Des gamins d’une dizaine d’années qui récolte des thunes, sa pu la mafia, et en ce temps là, Il ne valez mieux pas s’y frotter à la mafia. Les proprios des magasins préférer de loin payer leurs cent dollars mensuels. Certes ils perdaient un peu d’argent, mais leur commerce pouvait continuer à tourner tranquillement. Et ce jour-là, Bugsy allait faire part de son mécontentement face à un retard.

Les gens dans la rue le connaissaient presque tous, même les flics le connaissaient. Mais quand on gagne plus de trois mille dollars par mois à dix ans, c’est pas trop dur d’allonger les pour boire. Alors que l’enfant marcher d’un pas sur, presque provocant, les gens jeter des coups d’œil en prenant garde de ne pas se faire remarquer. Et quand l’un d’eux avait la malchance de se faire remarquer par Bugsy, mieux valez pour eux qu’ils sachent courir et que le démon n’ais pas bien vu leur visage. Sinon s’en était fini de leur vie. En faite le seul moyen de contrer Bugsy, aurait était de le tuer. Mais tuer un enfant de dix ans, ce n’est pas forcement très bien vu, même si l’on sait ce dont il est capable.

Au bout d’un certains temps, l’enfant s’arrêta devant un hommes, de tailles moyenne, assez rondelet, aux grosses mains et aux cheveux gras. Celui-ci était un vendeur de hot dog. Il portait un tablier blanc, taché de sauce à divers endroits, et préparé un de ses pains pour une jeune femme accompagné d’un enfant. Celui-ci devait avoir le même age que le jeune mafioso, mais c’était certain qu’il n’avait pas la moitié de la présence d’esprit et du charisme de Bugsy. En voyant le diable s’approcher, la jeune femme partit, sur des air tranquille, mais avec une angoisse profondément marquer. Bugsy sortit alors son paquet d’allumette, en sortit une, et commença à jouer avec. Il s’adressa alors au vendeur de hot dog : « Alors Frankie, je penser pourtant avoir été clair. Tu dois nous donner un des billets de cent dollars que tu as.
- Ecoute Ben, tu sais très bien que je ne peux pas. Vendre des hots dog, sa rapporte pas assez d’argent pour que je puisse te donner autant. Mais si tu veux je te donne un hot dog gratuit ! Qu’en penses tu ?
- Nan, je veux un billet un billet de cent dollars bordel !
Bugsy alluma alors une allumette, précisant au vendeur que, une foi consumer, il la jetterai sur tout son attirail et que tous ce qu’il a gagner s’envolerai en fumer. Mais l’homme décida qu’il était temps de mettre un terme aux conneries de ce petit délinquant, il décida de lui sauter dessus avant qu’il n’est le temps de faire quoi que se soit. Il se précipita donc sur Bugsy mais tomba sur le ventre tendis que l’enfant l’esquiva aisément. Celui-ci lâcha l’allumette qui tomba sur le pavé et sortit une arme de son pantalon, un revolver. Le pistolet semblait énorme dans la main du petit, tellement que Bugsy devant la tenir à deux mains. Le pistolet bien caller sur le crâne de l’homme au sol, le petit démon reprit son argumentation : « Ecoute Frankie, y’a pas trente mille solution. Sois tu me donne le billet que je réclame, sois tu meurt et je prend carrément tout ce que tu as. Moi la deuxième solution me branche bien. Alors ? ».

Le vendeur, trop gros et trop lâche pour courir après le gosse, laissa Bugsy partir avec deux cent dollars. C’était le prix à payer pour le retard. Mais peut être que si Frankie avait eu une meilleur vu tout aurait été arranger, peut être que si Frankie avait remarquer la mention « factice » imprimé sur le canon tout se serait mieux passer.

* * *

Les deux enfants Benjamin Siegelbaum et Meyer Lansky formèrent plus tard un gang nommé « le Bugs and Meyer gang », un gang composé de juifs qui se battront contre d’autre gang italien et irlandais. Ce gang comptera dans ses membres de futures grandes têtes du syndicat du crime tel que Dutch Schultz. Avant de rencontrer Lucky Luciano et de faire partie des grandes têtes de la mafia, Benjamin Bugsy Siegel été réputer comme l’un des hommes les plus dangereux de Brooklyn et notamment du quartier pauvre de Williamsburg.
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Bobby Cartito
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MessageSujet: Re: nouvelles   nouvelles EmptySam 25 Mar - 17:32

C'est très très prometteur !! mafia

En tant que passioné du genre, je dis BRAVO !!

C'est exactement la façon de pensé d'un bon gars du pays !! lol!

Et c'est cool, d'introduire des mots italiens de temps en temps genre "Capo di tutti" !! afro

Franchement, c'est bien !!

Surtout que ça fait des mois que je travaille sur le scénario d'une Bd mafieuse mais ça n'avance pas trop... (J'ai l'histoire en tête mais je n'ai dessiner qu'un page à peine... Razz)

Conclusion = 19 /20 (je peux pas mettre 20 Wink )
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Wolfie
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MessageSujet: Re: nouvelles   nouvelles EmptySam 25 Mar - 18:40

hé bien bobby sa me touche vraiment ^^

J'esperais que sa plaise au plus de monde possible car c'est une véritable passion que je vou a la mafia et le meilleur moyen de l'assouvir, c'est soit de s'y insérer (mais bon les risque d'aller en prison sont assez élevé mafia ou bien d'écrire et je me suis trouver ici une véritable vocation ^^

En tout cas merci à tout ceux et celles qui ont prit le temps de me lire Very Happy
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Bobby Cartito
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MessageSujet: Re: nouvelles   nouvelles EmptySam 25 Mar - 19:31

Bonsang ! Comme moi !! Very Happy mafia

I love la Mafia ! Je regarde des films de mafieux tous les jours, j'achète les tee-shirt "MAFIA", j'suis un cramé quoi !! mafia

Là, respect, Wolfie... salut

(Dailleurs, t'a raison, on invente des histoires pour ne pas y rentrer !!)

(Perso, c'ets pas la taule qui me ferait peur, mais de me faire buter par mes copains... Razz )

Là, respect, Wolfie... salut
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Rach Olroy
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MessageSujet: Re: nouvelles   nouvelles EmptySam 25 Mar - 20:47

wai elle est bien ta nouvelle,mais y'a trop de fautes d'orthographe,mais sionon bravo


salut salut salut salut salut salut salut salut salut salut salut salut salut salut salut salut salut salut
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