Restaurant du casino

Au fond de la salle ou se trouver tout les appareil a jouer du casino, ce trouver une porte a double batant. Derrière celle-ci tronait le magnifique restaurant du casino.

Les murs était bordeaux et les plaintes de couleur or. Des tables rondes étaient disposé de façon symétrique dans toute la salle. Des serveur parcourait le restaurant pour servir au mieux les clients. Seul un bar au même couleur que les mur était disposé sur le mur du fond de la pièce.

C'était un restaurant chic ou la nouriture et les boisson couter assez cher. Pour être sur qu'il n'y ai pas de problème, la salle était surveiller par des hommes en uniforme noir.

Un hommes vétu en costume de groom service venait proposer une table au personnes qui entraient dans la salle.

Une voiture d'un noire brillant s'arreta a parking. Murdoc en descendit et entra par la porte public. Le casino éait bourrer. Il se faufila à travers tous les joueurs et put enfin atteindre le restaurant. Il s'installa à une table libre. Murdoc regarda la salle Des bourgeois, des hommes politiques et des mafieux. Un homme vint vers lui et lui demanda ce qu'il voulait.

"Un pavé d'boeuf, une côte de beouf et un coeur de boeuf..."

Le serveur partit en emportant la commande.

Murdoc ne le regarda pas. Il mangeait tranquillement, se conssentrant sur ses 3 morceaux de viande. Il mangea à une vitesse fulgurante et quand il eut finit, il leva la tête vers Harris.

"La côte était seche, le pavé trop cuit, mais le coeur était parfait, je ne regrette pas d'avoir bouffé ici !"

Il regarda autour de lui.

"C'est trop éclairé ici ! je hai la lumière !"

Murdoc remarqua le regard de Harris sur l'arriere train d ela serveuse.

"Faut peut être que t'ailles à la Vieille Ville toi !"

La serveuse revint avec la commande de Harris.

"Qu'est-ce que t'en penses toi, de l'affaire avec Wolfie ?"

"Faut peut être que t'ailles à la Vieille Ville toi !"

"-Ouais t'as raison !"

La serveuse se ramène avec ma commande et la pose sur la table en ajoutant un "Bonne Appetit !". Je la remercie et commence à savourer ma salade.

"Qu'est-ce que t'en penses toi, de l'affaire avec Wolfie ?"

Je continu de macher et repris quand ma bouche était vide.

"-Ca va bien se passer mais moi je risque de rien foutre pour les flics. J'en ai pas vu l'ombre d'un seul depuis deux jours."

La serveuse marchait vers la cusine et j'observe à nouveau son postérieure bien remonté. Ca donner faim. Wolfie a fait le bon choix auprès des serveuse, car les gens doivent venir manger ici que pour mater les jeunes serveuses .

"-Et toi t'en pense quoi ?"

"Bof, pas grand chose. J'risque de m'faire un max de blé mais je n'en vois pas trop l'interet. Qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire de tout ce fric à ton avis ?"

Murdoc passa en revu tous ce qu'il pourrai bien faire avec le fric. Ne rovant pas de reponse, il demanda à Harris :

"Qu'est-ce que je pourrai faire à ton avis ?"

"Qu'est-ce que je pourrai faire à ton avis ?"

Je me mis à rire.

"-Te payer pleins de putes !"

Je repris mon serieux car là ça devenait genant.

"-Je sais pas. Quand t'as pas assez d'argent ,t'en veux et quand t'en as trop tu sais pas quoi faire. Personnellement, je sais pas ce que je ferai."

Je remets le cigare à ma bouche et tira une longues lattes au gout de caramel et de tabac. Bref, ce cigare est mon preferé.

"Content pour toi !"

Murdoc se leva.

"Mes avis que tu devrais reflechir avant de prendre ces saloperies !"

Il rangea sa chaise et sortit du Restaurant avec Harris. Harris entra dans sa limousine, Murdoc dans sa mercedes puis ils partirent vers Old Town.

Boris était installé sur un tabouret haut au comptoir du restaurant du casino..

Pour cette soirée, il avait revêtu un longue robe noire moulante,des escarpins vernis et arborait une somptueuse perruque blonde et bouclée qui lui descendait sur les épaules......épilé et maquillé à la perfection.....personne ne pouvait se douter de son ambivalence....

La grande Katia (c'était le surnom de Boris) regarda autour d'elle....Natacha Diatchenko était assise à une table....3 ans au moins qu'elle ne l'avait pas vue, elle n'avait pas changé , toujours aussi belle...elle était justement avec la chef des prostituées.....c'était le moment de les rencontrer ensemble, elle ferait d'une pierre deux coups....

Katia sortit son portable et composa le numero personnel du maire qu'elle avait réussi à obtenir moyennant finances comme tout dans cette ville.....

Elle vit Natacha décrocher et l'entendit dire 'allo'....

"Allo, kak ti jivioch, Nanouchka ? Chto ti djalech vietchorom ?"

Nanouchka était le nom de code de Natacha lorsqu'elle était au KGB...Boris était sur que l'appeler ainsi et en russe éveillerait immédiatement son attention......

(traduction : allo, comment vas-tu Nanouchka , que fais-tu ce soir ?)

La voix de Natacha résonna dans l'écouteur....Boris y sentit une certaine tension qui lui arracha un sourire amusé...

Elle fit pivoter son tabouret de 180 degrés et fit face à la salle....et reprit en anglais pour ne pas trop attrirer l'attention sur elle....

"Relax, Nanouchka, ne t'inquiétes pas......regarde en direction du bar....deux tabourets à droite de ton garde du corps...trés mignon d'ailleurs....la grande blonde.....tu me reconnais ?"

Natacha ne semblait pas trés heureuse de la revoir....faut dire qu'elles n'étaient pas trop amies en Russie....mais bon, si loin de leur contrée d'origine, la fibre patriotique devrait jouer en peu.......

"Ce que je fais -là ? eh bien je suis là pour te parler, ma tendre Nanouchka....ainsi donc qu'à la charmante personne qui t'accompagne....je peux vous rejoindre ?.... tu es déjà en compagnie d'une pute, un travelo en plus ça ne devrait pas te déranger outre mesure, n'est-ce pas ?"

Bobby s'installa et commanda un sand witch. Il prti également une cigarette qu'il se mit dans la bouche. Il aspira une bouchée de fumée :

Il faut forcément reprendre un jour...

Il ignorait pourquoi, mais il se senter à nouveau "bad guy". Pourquoi, peut-être à cause de l'atmosphère pourri de la ville, mais il ne préférait pas penser à tout ça. Le sand witch n'arrivait toujours pas mais il l'avait comme oublier. Il examinait les gens présents dans la pièce; il se vit dans un miroire, il n'avait rien du gars honnête. Mais il ne se poser pas trop de question sur son avenir. Il se contenta de fermer les yeux pour se reposer...

Si quelqu'un pouvait venir, n'importe qui...Ca serait bien !!

Raymond entra dans le casino, il ne savais pas trop pourquoi mais il sentait qu'ici, il pourrait trouver des gens comme lui, des gens qui ont une force de caractère et pas seulement des petits flambeur. Mais il avait une envie d'alcool depuis quelques heures, et un petit sot au restaurant aurait été aprécié.

Il entra donc dans le resto, il était bonder. Sa ne l'étonnait pas pour autant. Il scruta alors la salle.

*Ou je vais bien pouvoir aller m'installer. Attend ce mec la bas, je l'ai déja vu quelques part, non c'est pas possible, ma mémoire me jou des tour. Pas graves allons y.*

Raymond s'installa a coté de l'homme en question (bobby) et commanda une desperados.

- Bonjour monsieur.....

"Bonjour monsieur....."

Bobby s'était assoupit et il se réveilla en sursaut. Se tenait en face de lui, un homme grand, robuste mais très charmant. Il l'examina de la tête aux pieds avec un air méfiant, si ce type était originaire de Sin City, il devait encore s'agir dun psychopate fou dangereu et Bobby n'avait aucune envie de retourner à l'hôpital. Il se força à sourirer et dit :

Bonjour...

Son air chaleureux sentait le faux, en effet, il voualit être seul pour enfin décider à ce qu'il allait faire, devenir... Sa cigarette était finie et ellE lui brûla les doigts, il l'a jeta par terre en grinçant des dents. Son regard s'atatrdit encore sur le miroire, il n'avait vraiment rien d'un homme d'église, cette pensée était plus forte que lui, elle le rendait fou; c'est vrai, il avait vider le chargeur de son flingue en juste quelques heures. C'était un tueur, comme avant...

*Nous y penserons plus tard...Faut que je voit un psy...*

Il regarda alors l'homme de la table dans les yeux :

...

Vous êtes ??

Raymond Gagie fronça les sourcils quand l'homme jeta sa cigarette à terre. Apparament cet homme était perturbé.

*Mais qui ne l'est pas dans cette ville de fou*

Deplus, il avait l'iar perdu dans ses pensée, il avait surement des problème, peut être de conscience, c'est plus fréquent qu'on ne le croit.

- Je suis Raymond Gagie, et je suis arrivé dans cette ville depuis peu. Il me semblait vous avroi déja vu mais apparament j'ai du me tromper, vu votre pur accent américain. En effet j'arrive d'allemagne.

La serveuse arriva et déposa la despe de raymond, dans laquelle un morceau de citron avait été enfoncer. Il but une gorgé et repris.

- Mais bon, j'espere que sa ne vous dérange pas que je boit avec vous? Je ne connais encore personne ici, hormis jonathan wolfie. Vous en avez peut être déja entendu parler?

Bobby regarda le dénomé Raymond Gagie boire une gorgée de despe.
Il fronça les sourcils et appela un garçon, il parla avec un ton plus froid qu'il en l'aurait souhaité :

J'ai commandé un sand witch y'a au moins une heure, garçon...

Il se tourna alors vers le nouveau venu. Bobby était soucieux, son ancien tempérament reprenait le dessus, que pouvait-il bein y faire ??

*Pasteur ?! C'est une couverture.*

Son inconscient ne cessait de lui répétait cette phrase, il dit haut et fort.

Non, non, putain de merde !!

Il fit un regard d'excuse à Raymond et dit :

Heu, laissez tomber, je, je suis fatigué, j'ai des problèmes...

Son interlocuteur prit la parole, Bobby esseya de se détendre :

"Mais bon, j'espere que sa ne vous dérange pas que je boit avec vous? Je ne connais encore personne ici, hormis jonathan wolfie. Vous en avez peut être déja entendu parler?"

Non, non, bien sûr, restez, un peu de compagnie ne fais de mal à personne...Non, non, je ne connais pas de Wolfie... En fait, je suis nouveau en ville, enfin, je suis arriver il ya un moment mais je ne connais que l'hôpital...C'est une longue histoire...

En voyant l'air de Raymond, Bobby se dit que lui-même devait avoir l'air louche, il changit immédiatement de sujet.

C'est drôle...Enfin, c'est vrai, je susi américain, mais les gens croient toujours que je susi un ritale, un italien...C'est drôle mais c'est bien, je vous remercie...

Cette remarque était nulle mais il ne fit comme si rien n'était, pourquoi était-il si perturbé ?? Il accorda un sourire à Raymond et reprit une cigarette:

Ca vous dérange pas que je fume ??

Moi, c'est Bobby Cartito... Et ça m'étonerais qu'on se soit déjà rencontrer... Enfin, bienvenue dans cette ville de fous...

Il lui tendit la main...

Raymond écoute bobby avec attention, mais il voyait bien que celui là avait un problème. D'ailleurs il l'avait avouer lui même. Mais ce n'était pas les affaires de raymond, il ne poursuivit donc pas sur ce sujet.

*Après tout, tout le monde à ses petit problème, et lui n'est pas différent des autres.*

Quand bobby lui tendit la main, raymond lui serra rapidement, un sourir au lèvre. Peut être avait il enfin trouver quelqu'un de "normal" dans cette ville.

- Oui allez y fumer donc. Ne faites pas attention à moi. Oui pour vous parlez en gros de Wolfie, c'est l'ex proprio de ce magnifique casino. Avant qu'il ne le "lègue" à un certains monsieur vega.

Raymond avait prix un air sérieu, un air grave. Il savait que ce genre de sujet n'était pas à aborder avec n'importe qui. Mais il sentait que cet homme n'était pas "nimporte qui".

- Et si nous parlions de vous, que faites vous ici? en ville je veux dire.

Raymond rebu une gorgé de despe avant de se caller tranquillement, adosser à sa chaise, la canette toujours en main.

Bobby écoutait attentivement Raymond Gagie.

*Enfin quelqu'un de civilisé ??*

Raymond lui parla d'un certain Wolfie, peut-être un parent à lui ? Puis d'un Monsieur Vega.

Ah ouais ouais, un homme important ici...

Bobby hocha très sérieusement la tête et réavale une boufée de fumée.
Raymond lui demanda enfin quel était son rôle, ici, à Sin City. Bobby eut un rictus :

Et bien, je, je suis censé m'assurer que tout aille bien dans la ville, j'essaie d'aider les personnes en difficultés...

Il sentit sont médaillon en forme de croix, signe d'église, sur son torse. Enfin, il n'était plus tout à fait sûr de croire en Dieu, en effet, cette ville appartenait à Satan.

En gros, je suis censé entretenir l'église mais je n'y est pas encore mit les pieds.

Bobby sourit mais son regarda était triste. Il était comme un ado, il ignorait qui il était vraiment. Il n'osa pas dire qu'il été pasteur, puisque qu'il était plus un gangster pour l'instant :

Et vous, vous faites quoi dans la vie ??

Quand bobby dit a raymond qu'il était sencé s'assurer que tout aille bien en ville, ramond eut un sursaut intérieur. Pensant qu'il était peut être policier. Mais le fait qu'il parla de l'eglise tout de suite après lui enleva un poid.

- Moi ce que je fait?

Raymond eu un sourir, lui même ne savait pas trop ce qu'il fesait.

- Eh bien je survie, ou du moins jessaye. C'est une ville dangereuse apparament. Même a berlin c'était plus calme.

Raymond eut un sourir en repensant au passer, qu'est ce qu'il avait pu morfler.

Bobby était très perspicace, et en tant qu'ancien gangster (ou gangster tout court), il reconaissait les siens, il dit avec un air malicieux :

Vous n'aimez pas beaucoup la police pas vrai ??

...

Rassurez-vous, je n'est aucune idée tordue derrière la tête...

Il commanda alors un verre de Marsala qu'il eut immédiatement, il but alors une gorgée et rajouta :

Vous en voulez ?? C'est du vin Sicilien...

- Ah non ! je n'est rien contre la police, mais eux ne m'aiment pas, je ne sais pas trop pourquoi.

Raymond eut un sourir. C'est vrai qu'il lui arrivait souvent de ce dire que ces hommes qu'il fesait morfler, il ne fesait que leur boulot, ce n'était pas de leur faute. Mais bon, raymond aussi ne fesait que son boulot.

- Du vin sicilien ! pourquoi pas, je vais m'en commander un verre.

Raymond commanda un vers et fut un petit clin d'oeil a la serveuse qui lui ammena.

*A les femmes*

- Ou en étions nous?

Bobby rigola après les paroles sur la police venant de Raymond, il le regarda alors faire un clein d'oeil à la serveuse avec un regard rêveur, il reprit donc avec un air nostalgique ou blasé :

Ouais, nous ne cherchons pas les ennuies mais ce sont eux qui nous trouve, c'est ça ?!

Raymond fut étonner par la réponse de celui qui se disait homme d'église. Ce fut notament le "nous" qui l'intriguait.

- Ainsi vous fesait vous aussi vos petite affaires? Je suis tout ouï.

Raymond regardait maintenant bobby avec attention, un collègue, sa fesait longtemps.